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TéléramaDans le geyser de la production de saint Steve, voici, avec son trio européen (Jean-Jacques Avenel et John Betsch), un disque qui attendait sa publication depuis quatre ans. La résurrection du label Freelance nous vaut une méditation sur le la, note sacrée, et des portraits musicaux, comme celui de Jean-François Jenny-Clark. Michel Contat (Télérama - 25/09/2002) |
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Le Monde[
] Un titre de Monk, Shuffle Boil, pour débuter et réaffirmer une nouvelle fois d'où le saxophoniste tire une grande partie de sa poésie. Sylvain Siclier (Le Monde, 05/07/2002) |
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Jazzman[ ] l'on retrouve [dans ce dernier disque] l'essentiel de l'imaginaire du saxophoniste : l'obsession de Monk (Shuffle Boil ouvre le disque) ; la "musiquevisible" (une image que Lacy appliquait au Misterioso de Monk, et qui reste une bonne description des intervalles qu'on "voit" autant qu'on les entend, dans Flakes par exemple) ; le lyrisme sinueux, où l'on retrouve l'acidulé si caractéristique du soprano, comme dans le titre qui donne son titre à l'album : The Holy La, ce "la" sacré autour duquel tout danse et s'ordonne. Yvan Amar (Jazzman n° 82, juillet-août 2002) |
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Jazz MagazineAvec un tel titre (qui rappelle le caractère sacré de cette note de référence pour tous les musiciens occidentaux), le saxophoniste tend la perche à ses admirateurs amateurs de jeux de mots - on pourrait en faire le point de départ dune chanson : Holy la Holy si Holy Lacy ! Sacré Lacy qui va quitter la France qui n'a pas su le retenir et qui, juste avant de partir, nous offre (en attendant une Beat Suite chez Universal et un recueil ellingtonien proposé sur le net) ce message phonographique [ ]. Mais qui demain va nous donner le la ? Philippe Carles (Jazz Magazine n°528, juillet-août 2002) |